Avec la technique de l’obsolescence programmée utilisé par les grandes marques, la société actuelle a plus de déchets informatiques que les anciennes générations. Pourtant, pour la protection de l’environnement, et pour éviter les amandes pour abondant de déchet encombrant, il ne faut pas laisser simplement trainer ses ordinateurs et ses imprimantes cassés. Retour notamment sur les normes de conditionnement et de retrait des ordures high-tech.
De la prérogative d’une entreprise spécialisée
Il n’est pas conseillé de jeter soi-même ses déchets informatiques aux décharges publiques. C’est une prestation qui incombe à une entreprise spécialisée. Il y a en effet des règles à respecter pour le retrait de ces derniers, surtout que ces appareils peuvent produire des émanations toxiques. Entre autres, il faut un véhicule spécialisé pour déplacer les déchets de ce type. Il ne faut pas les bruler simplement. Il importe en amont de retirer les produits susceptibles de produits des gaz toxiques.
Mais attention, les entreprises de retraits des déchets informatiques ne se déplacement pas de leur propre chef. Il faut le leur demander. Pour ce faire, il suffit de remplir un formulaire en ligne en indiquant l’emplacement des détritus en question et l’heure à laquelle elles peuvent passer récupérer les ordures en question.
Des centres de démontages spécifiques
Les grandes marques de produits informatiques ont fait depuis peu des efforts afin de faciliter le jet des appareils non-usages. Tel est le cas par exemple de Apple. Cette entreprise propose des centres de démontages spécifiques pour ses Smartphones et tablettes qui désossent en quelques minutes n’importe quel appareil. Chaque élément sera ensuite classé dans les bacs adéquats : recyclables ou non.
Ce service est pourtant encore sujet à controverse. Et pour cause, il profite aussi à la marque qui pourra réutiliser les éléments des appareils désosser dans ces prochaines collections.
Le cloud : comment ça marche ?
Cloud ou nuage, peu importe comment on l’appelle, est devenu essentiel pour certains internautes. Une véritable révolution, résolvant les problèmes de stockage de données, il se décline aujourd’hui en plusieurs sortes. Plusieurs prestataires proposent en effet aux particuliers des espaces de stockage virtuel comme celui-ci. Mais si certains ont d’ores et déjà cerné les avantages du cloud, d’autres en sont encore à se demander comment ça marche. Le point.
Uploader ses fichiers pour les stocker
Le cloud se définit simplement comme un espace de stockage virtuel. Il peut contenir des photos, des documents Word ou.txt, des vidéos, voire des fichiers rar, etc. Il propose en moyenne 2 Go d’espace de stockage virtuel. Pour y enregistrer ses fichiers, il suffit de les uploader.
Une inscription sera nécessaire pour bénéficier des serveurs du cloud. Cette dernière sera tantôt gratuite, tantôt payante. Tout dépend du fournisseur. Comme pour les profils de réseaux sociaux, il faudra trouver un mot de passe à son compte cloud et le synchroniser avec son adresse mail.
Quand le cloud est synchronisé à tous les comptes virtuels et à tous les appareils dont on dispose, ce n’est plus la peine d’uploader les fichiers. Ces derniers sont automatiquement enregistrés sur le Cloud. C’est d’ailleurs ce qui permet à Apple de retrouver les données perdues dans ses Smartphones et ordinateurs.
Télécharger ses fichiers
Une fois dans le nuage, les fichiers seront disponibles n’importe quand et de n’importe où. On peut oublier son PC à la maison et tout de même avoir accès à ses dossiers de travail. Il faut simplement se connecter aux serveurs et retélécharger les documents en question.
Cette simplicité d’utilisation et cette facilité d’accès est notamment à l’origine de la réputation actuellement du Cloud. Pas la peine d’être un génie en informatique pour en profiter. Quand on commence à manquer d’espace, il suffit de supprimer quelques documents, ou simplement créer un autre compte.